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Société Franco-Manitobaine

Franco-Manitoban Flag.
Pierre Gaultier de Varennes et de La Vérendrye
.
Franco-Manitobans
Les principales communautés franco-manitobaines autour de Winnipeg.

The Société franco-manitobaine (SFM) (

francophone organization that represents the Franco-Manitoban community in Manitoba, Canada since its creation in 1968, replacing the previous Association d'éducation des Canadiens français du Manitoba (English: Education Association of French Canadians in Manitoba). The SFM is headed by Mamadou Ka (President) and Daniel Boucher (CEO). The SFM represents 47,700 Manitobans that speak the French language as a first language and some 104,600 Manitobans that speak both French and English.[1]

History

Explorers, trappers, fur traders, missionaries, and settles

The history of the Société franco-manitobaine is directly linked to the francophone community of

Suisse
qui viennent renforcer la communauté francophone.

De la révolte à la création de la province du Manitoba

En

Division Scolaire Franco-Manitobaine
.

Action politique de la SFM

La SFM se bat pour le respect des droits garantis aux francophones ainsi que l’adoption de nouvelles lois et de nouvelles politiques gouvernementales visant l’épanouissement de la vie en français au Manitoba. La SFM contribue à la communication et à la collaboration entre les divers organismes francophones du Manitoba. Elle travaille également avec le ministère du Patrimoine canadien. En 1980, elle supervisa le concours organisé par le Conseil jeunesse provincial pour la création d'un drapeau franco-manitobain.

En 2001, la SFM lança la stratégie "Agrandir l’espace francophone". Cette politique s'organise autour des cinq orientations stratégiques suivantes :

  • la pleine continuité francophone ;
  • le goût du français aux familles mixtes ;
  • le choix de nouveaux arrivants ;
  • le rapprochement avec les personnes bilingues ;
  • la sensibilisation des anglophones.

En 2013, les membres de la SFM ont voté en faveur de la tenue d'états généraux de la francophonie manitobaine, de l'enseignement de l'histoire franco-manitobaine aux membres du conseil d'administration de la SFM et de jouer un rôle crucial au sein de la Division scolaire franco-manitobaine. Les propositions avaient été déposées [when?] par la rectrice de l'Université de Saint-Boniface, Raymonde Gagné, avec l'appui de l'ancien président de la SFM, Léo Robert.[2]

LA SFM dénonce le mode de calcul des statistiques canadiennes

À la suite de la polémique et de la plainte contre le mode de calcul actuel défavorable aux Francophones, déposée par la Société franco-manitobaine le 21 mai 2013,[3] Graham Fraser, commissaire aux langues officielles du Canada, a lancé une enquête sur la façon dont le gouvernement du Canada compte les francophones vivant en milieu minoritaire, à la suite du dépôt d'une plainte par la Société franco-manitobaine (SFM). Selon cette dernière, la définition fédérale de «francophone» est périmée et des changements s'imposent. Daniel Boucher, Directeur-Général de la SFM déclare "Le calcul administratif ne reflète pas la réalité des familles exogames (où seulement un des parents est francophone) dont les membres sont bilingues et qui déclarent à la fois l'anglais et le français comme langue maternelle, mais où la langue du foyer est l'anglais. Un nombre important d'immigrants francophones ayant une autre langue comme langue maternelle sont également exclus par les données fédérales. Les individus de ces foyers peuvent travailler et fréquenter une école de la minorité et utiliser des services (fédéraux) en français, sans toutefois être identifié comme francophones par Statistique Canada. Comble de l'ironie, le président de la SFM, Mamadou Ka, n'est pas reconnu comme francophone par le gouvernement fédéral".[4] Ainsi Statistique Canada évalue à quelque 542,000 personnes la taille de la population francophone de l'Ontario en 2011 ; Alors que selon un autre mode de calcul, la province ontarienne serait peuplée de 611,500 Franco-Ontariens, soit un écart de près de 70,000 personnes. Le mode de calcul actuel permettrait ainsi de tels écarts entre la réalité linguistique du pays et les statistiques officielles.[5]

References

External links

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